Σάββατο 29 Οκτωβρίου 2011

Ο Γ. Κοντογιώργης στο Mega (29.10.2011) για τα γεγονότα της Θεσσαλονίκης και τις ευθύνες του Προέδρου της πολιτείας

Πηγή: LoMak


Ο Γιώργος Κοντογιώργης ερμηνεύει τα γεγονότα της προσβολής της Εθνικής Επετείου και του Προέδρου της Πολιτείας. Ο Πρόεδρος Κ.Παπούλιας ως μέρος του προβλήματος

Παρασκευή 28 Οκτωβρίου 2011

Ο Πρόεδρος της Πολιτείας, πολιτικά συνυπεύθυνος για την ταπείνωση και καταστροφή της χώρας


 Πηγή: LoMak

Ο Γιώργος Κοντογιώργης στο Κανάλι 10, στις 27 Οκτωβρίου 2011, επισήμανε για μια ακόμη φορά την ευθύνη του πολιτικού προσωπικού για την καταστροφή της χώρας και περιέγραψε τον χαρακτήρα του πολιτικού συστήματος ως δυναστικού στη συμπεριφορά του και "νεκρόφιλου". Γι αυτό και φέρνει στην προεδρία του κράτους πολιτικά νεκρούς, για να τους ελέγχει. Ο Πρόεδρος Παπούλιας έχει σημαντική πολιτική ευθύνη και αρμοδιότητα, την οποία έχει απεκδυθεί. Το αντίθετο είναι απολύτως ψευδές και συνιστά υπεκφυγή. Όφειλε εξ αρχής να είχε συνετίσει την πολιτική τάξη. Εν εναντία περιπτώσει, είχε καθήκον να απευθύνει διάγγελμα προς τον ελληνικό λαό, εγκαλώντας την πολιτική τάξη να αλλάξει σελίδα και να πάψει να συμπεριφέρεται ως δυνάστης της κοινωνίας. Ο Πρόεδρος είναι, κατά τούτο, συνυπεύθυνος για την εθνική ταπείνωση και για την καταστροφή που συντελείται σε βάρος της ελληνικής κοινωνίας. Κανείς δεν αισθάνθηκε την ανάγκη να ζητήσει πραγματικά συγνώμη και να αλλάξει την πορεία του "πολιτεύεσθαι". Σύσσωμη η πολιτική τάξη οδηγεί τη χώρα στην απόγνωση και η διέξοδος δυστυχώς θα έρθει μόνο μέσα από την κατάρρευση του πολιτικού συστήματος. Με ασύμμετρες επιπτώσεις για τη χώρα. Σε μια αποστροφή του λόγου του, ο Γ.Κ.  προκειμένου να καταδείξει το αδιέξοδο της χώρας, είπε, με δόση υπερβολής, ότι θα ελπίσουμε ότι κάτι θα γίνει μόνο την ημέρα που θα πληροφορηθούμε ότι ένας σημαίνων πολιτικός ανέλαβε την ευθύνη για όλη την πολιτική τάξη και αυτοκτόνησε, πέφτοντας από το ψηλότερο σημείο της σημαίας της Βουλής.

Τρίτη 25 Οκτωβρίου 2011

G. Contogeorgis, DE L' EUROPE POLITIQUE, L'Harmattan, Paris, 2011

De l'Europe politique.
Identités et citoyenneté dans le système européenDe l’Europe politique
George Contogeorgis


Préface de Paul Alliès
George
La littérature sur l’Europe politique a sa propre historiographie. Elle a vu se renouveler, au cours des deux dernières décennies, les théories les plus classiques de la science politique académique. Celle-ci ιtait confrontée à des questions inιdites afférentes au dιpassement de la forme historique des États-nations dont le continent avait ιtι le site de la naissance et de l’expansion. Même le fédéralisme et ses avatars « régionalo-autonomistes » ne rendaient pas compte de la construction de ce qui restait bien « un objet politique non identifié » selon le mot de Jacques Delors. Rares ont ιtι ceux qui, comme Jόrgen Habermas, ont bβti des concepts originaux pour rendre compte de ce processus inιdit de construction d’une démocratie cosmopolitique.
L’oeuvre de Georges Contogeorgis, fort dense, excède amplement le sujet de l’Union européenne et s’agence autour de la notion de «cosmosystème anthropocentrique » par lequel il dιconstruit les catégories les plus solides de la philosophie politique concernant la liberté, l’identité, l’individualité, la solidarité ; en bref, tout ce qui fait société et permet de la penser dans des représentations et des systèmes. […] Dans cette perspective, l’Union européenne est un moment essentiel oω l’individu se « dιmassifie », se dιnationalise, se politise. […] L’Europe, telle qu’elle est devenue, serait donc un stade de transition vers un cosmosystème moderne qu’annonce la mondialisation. La contribution de Georges Contogeorgis relance le travail de création d’une rιflexion politiste sur une Europe rongée par les techniques et expertises d’une « gouvernance » à la godille et les préconisations de penseurs de pacotille. Voici donc un roboratif antidote à l’endormissement de l’intelligence.

Extraits de la préface de Paul Alliès

Τετάρτη 19 Οκτωβρίου 2011

Les racines de la crise Grècque. L'annonce, en 1992, de la crise grecque de 2008 et s. (Οι ρίζες της ελληνικής κρίσης. H αναγγελία, το 1992, της ελληνικής κρίσης του 2008 επ.)


Georges Contogeorgis, Histoire de la Grèce, Éditions Hatier, Paris, 1992, pages 433-436.


          ".....L'alternance, avec 1'arrivée du PASOK au pouvoir en 1981, confirme la solidité des fondements du système politique. Elle ouvre en même temps une période d'adaptation du pluralisme représentatif et d'édification d'un système «corporatiste" dans tous les domaines du secteur public au sens large. Il s'agit en réalité d'un « corporatisme » partisan, d'une intégration des corps intermédiaires aux divers niveaux du pouvoir, de telle sorte que soient assurés le contrôle du parti et, au-delà, la reproduction et la pénétration socio-politiques de ses cadres. Cette solution aboutissait en fait, non pas a une redistribution du pouvoir au profit du corps social, mais à la possession conjointe des ressources sociales par le parti et ses nouveaux partenaires par le moyen du pouvoir. Si cette politique conduit à 1'intégration sociale et politique d'un large secteur de la société, à long terme, elle va accélérer la pression sociale et la contestation de  1'ensemble du système du pouvoir, ce qui va très rapidement confronter les dirigeants du PASOK à ce qu'ils ont crée.
          Le second mandat gouvernemental du PASOK (1985- 1989) est marqué par ce double affrontement. II tente de conquérir 1'État en neutralisant les anciens compagnons de route corporatistes du pouvoir. En même temps, il défend 1'autonomie du pouvoir de la classe politique centre la contestation sociale. Cette double confrontation conduira la direction du parti au pouvoir à se placer au-dessus de la dynamique sociale et politique en essayant de plus en plus d'enfermer sa clientèle électorale dans 1'argument « historique » (par ex. les responsabilités de la guerre civile, le parlementarisme sous tutelle, l'« apostasie », la dictature, etc.), de mobiliser des pratiques clientélistes désuètes et de s'approprier ouvertement les mécanismes et les ressources de 1'État. II y a là un cas typique de dérive du pouvoir, dont les expressions extrêmes sont 1'édification d'un système de corruption diffus dans 1'État et le pouvoir
gouvernemental (dont les « affaires » sont 1'aboutissement), avec des complicités sociales (une multitude de subsides, des dizaines de milliers de postes attribues, etc.), le nivellement des mœurs socio-politiques, le pays lourdement hypothéqué auprès des préteurs étrangers, la politisation de masse de la société et la mise sous tutelle partisane totale des medias du secteur public.
          La période qui s'ouvre en 1985 coïncide en effet avec le point culminant de la réaction politique à la contestation sociale sans cesse croissante de 1'autonomie et de l'« auto-suffisante » traditionnelles du pouvoir. Cette autonomie distinguait déjà à maints égards le système politique grec, mais connait un retour en force avec 1'aile de la direction de 1'Union du centre qui pendant les années soixante avait été à 1'initiative de 1'accélération de la démocratisation du pays et qui, après la dictature, a apporté sa contribution à la recomposition du champ politique
et idéologique.
          L'on enregistre indéniablement à cette période un décalage très net entre la volonté politique du pouvoir et la dynamique d'une société dont les caractéristiques fondamentales s'accordent à 1'économie de marché, en particulier celle de 1'époque commerciale et industrielle. Malgré la stagnation industrielle subie par la société grecque (les indices industriels de 1990 restent au niveau de ceux de 1980), son intégration institutionnelle dans le complexe économique européen global, qui se concrétisera lorsqu'elle devient le dixième pays membre de la CEE en Janvier 1981, va contrebalancer ses pertes de dynamisme, face aux résistances de la classe politique. La CEE devient ainsi pour la Grèce un facteur capital de sa modernisation.
          Le désaveu du gouvernement du PASOK aux élections de 1989 et 1'impasse parlementaire sur laquelle débouchent la rigidité du système du parti et la loi électorale vont conduire à 1'expérience inédite d'un gouvernement conjoint de la Nouvelle démocratie et de la Coalition de la gauche, puis d'un gouvernement d'« union nationale ». Ce n'est qu'en 1990 que la Nouvelle démocratie sortira victorieuse des élections et formera un gouvernement homogène.
          La crise profonde et multiple dans laquelle le pays s'enfonce vers 1'expiration du premier mandat du gouvernement socialiste se fera surtout sentir à la fin des années quatre vingt, au fur et à mesure que ses incidences sur 1'intégration de la Grèce dans 1'Europe unie, ainsi que sur son rôle dans 1'ensemble de la région après l'effondrement du socialisme réel deviennent évidentes. Bien que les incidences de cette crise se fassent sentir davantage dans le domaine de 1'économie et dans les autres secteurs de la vie sociale, il est clair que sa cause première se rattache à la crise du système politique, et plus précisément à la crise de la représentativité due au système des partis et à la classe politique. Si la dernière période de gouvernement du PASOK de 1985 à 1989 s'est accompagnée d'un certain sursaut autoritaire, il n'en est pas moins évident que le problème est global, qu'il concerne plus ou moins 1'ensemble de la classe politique grecque, et que, d'une certaine façon, il dépasse les limites du cas grec.....".

Παρασκευή 14 Οκτωβρίου 2011


Γιώργος Κοντογιώργης, Ο Ξαρχάκος ως οικουμενικός δημιουργός

(Δημοσιεύθηκε στην Καθημερινή της Κυριακής, 9/10/2011, στο ειδικό αφοέρωμα για τον συνθέτη)

Ο Σταύρος Ξαρχάκος ταξινομείται, μαζί με τους Χατζιδάκι και Θεοδωράκη στη χορεία των μεγάλων δημιουργών της σύγχρονης ελληνικής μουσικής γραμματείας. Όπως κάθε μεγάλος δημιουργός ο Ξαρχάκος στέκει με σεβασμό και θαυμασμό ενώπιον της μουσικής ιδιοφυίας του "κοινού λαού", του οποίου το έργο το προσεγγίζει ως ζωοποιό αισθητήρα της έμπνευσής του αλλά και ως πηγή εναρμόνισης του βάθους του ιστορικού χρόνου με τον σύγχρονο κόσμο. Κινείται με την ίδια άνεση στην απλή λαϊκή μουσική παράδοση και στην ορχηστρική δημιουργία. Διαθέτει μια μοναδική ικανότητα να πρωτοτυπεί με γνώμονα τον "λαϊκό" ή τον "δημοτικό" ήχο και, μάλιστα, να τον μεταλλάσσει σε ορχηστρική μυσταγωγία. Ο συνθέτης, αν και δηλώνει, ορθώς, ότι "εν αρχή ην ο ήχος και όχι ο λόγος", μέσα από εξαίσιες μουσικές παρόδους δημιουργεί τις γέφυρες στην πολιτισμική πολυσημία του Έλληνα λόγου, ο οποίος έτσι μεταλλάσσεται σε μυθολογία φωτός.
Το έργο του Ξαρχάκου είναι βαθιά πολιτικό. Η θεματική του αλλά και η συνοίκησή του με τον ιστορικό χρόνο φέρνει τον δημιουργό του αντιμέτωπο με τον ελληνικό ιδεότυπο του κοινωνικού ανθρώπου, την ελευθερία. Η ελευθερία, ως αυτονομία, συνδυάζεται με το "είναι" της αισθητικής, λειτουργεί ως δεξαμενή ανίχνευσης του αγωνιώδους ερωτήματος της ταυτότητας. Μέσα από το μουσικό του ιδίωμα ο Ξαρχάκος μας δείχνει ότι η ελληνική ταυτότητα είναι βαθέως ορίζοντα "τρόπος" του βίου και, συγχρόνως, συνεκτική παράμετρος της πολυσημίας των εκφράσεων. Η αντίθεση ακριβώς αυτή, μεταξύ του Έλληνα "τρόπου", που ορίζει την ελληνική ελευθερία, και του "τρόπου" του νεοέλληνα, που μηρυκάζει εγκιβωτισμένος ως άθυρμα στο κράτος, είναι που κάνει να αναβλύζει στο έργο του διάχυτος ο θυμός της ιστορίας.         Ο Σταύρος Ξαρχάκος αισθάνεται έγκλειστος στη "νεοελληνική" φυλακή, η οποία έχει τάξει ως αποστολή της να καταπνίγει κάθε ανάσα πρωτοτυπίας. Η αναδρομή στην ελληνική μεγαλουργία λειτουργεί λυτρωτικά και, συγχρόνως, ως δικλείδα αντίστασης στο ανοίκειο. Θα έλεγα, με άλλα λόγια, ότι το έργο του Ξαρχάκου, εμπνευσμένο και πολυσήμαντο, αποδίδει την προσωπική αγωνία ενός δημιουργού, ο οποίος διαλέγεται με τους ήχους των ανθρώπινων, με την αισθητική των πραγμάτων, ταξιδεύοντας στο άπειρο του μουσικού χρόνου και τόπου. Κατά τούτο, ο Ξαρχάκος είναι οικουμενικός, ξεπερνάει, θα έλεγα διαχέει τα ελληνικά σύνορα, στην οικουμένη. Διευκρινίζει τις αρετές του ελληνικού μουσικού πολιτισμού και, συγχρόνως, οικοδομεί, με ήχο και λόγο, μια μουσική πανδαισία, που φέρνει τη σφραγίδα της ευφυούς συνάντησης των πηγών με την πρωτοτυπία του δημιουργού.
Συνοδό του μεγάλου δημιουργού χάρισμα είναι η πηγαία "θεατρική" παράσταση που δίνει ο συνθέτης πάνω στη σκηνή. Παράσταση, που εμπνέει τους συντελεστές και συνεγείρει το κοινό του.

Δευτέρα 3 Οκτωβρίου 2011

Georges Contogeorgis, L'Europe et le Monde. Civilisation et pluralisme culturel, L'Harmattan, Paris, 2011


Sommaire

Comment aborder les concepts de civilisation et de culture? Quelle est la nature de la civilisation européenne, les fondements et les limites de son pluralisme culturel et de sa géopolitique, la polysémie du phénomène religieux ?
L’identité de l’Europe repose sur le fait que l’espace géopolitique européen a posé pour la première fois dans l’histoire le phénomène des sociétés en liberté : depuis la petite échelle de la cité – que le monde hellénique créa et incarne en dernière analyse – jusqu’à son extension à grande échelle, via l’État-nation.
Cet ouvrage annonce le dépassement des idées des Lumières, dans la mesure où elles ont achevé leur mission mais aussi parce qu’elles sont devenues un frein conservateur qui entrave l’évolution politique en Europe.

Σάββατο 1 Οκτωβρίου 2011

Γιώργος Κοντογιώργης, Τι είναι δημοκρατία;


[Απόσπασμα (σελ. 103-131 "Η δημοκρατική αρχή ως πρόταγμα και ως διακύβευμα") από το βιβλίο του Γ.Κοντογιώργη, 12/2008. Οι νέοι, η ελευθερία και το κράτος, Εκδόσεις Ιανός, Αθήνα, 2009, σελ. 232. Περισσότερα, στο Γ.Κοντογιώργη, Η δημοκρατία ως ελευθερία. Δημοκρατία και αντιπροσώπευση, Πατάκης, 2007].

1. Η προσέγγιση της δημοκρατίας που επιχειρώ εδώ τοποθετείται στον αντίποδα της ιδεολογικής παλινωδίας της νεοτερικότητας, η οποία, θέλοντας να συγκαλύψει ουσιαστικά το γεγονός ότι η πολιτεία της είναι απλώς μετα-δεσποτική, διέπραξε ένα πρωτοφανές γνωσιολογικά άλμα αυθαιρεσίας. Επένδυσε με δημοκρατικό μανδύα ένα τυπικά πρωτο-ανθρωποκεντρικό[1] πολιτικό σύστημα ενώ συγχρόνως για να γίνει πειστικό το επιχείρημά της περιέλαβε στο ίδιο τυπολογικό περιτύλιγμα πολιτείες (τη δημοκρατία, την αντιπροσώπευση, το προ-αντιπροσωπευτικό σύστημα) με ασύμβατο μεταξύ τους περιεχόμενο.
Θεμελιώδης για την κατανόηση της διαφοροποίησης της νεοτερικότητας στο θέμα της δημοκρατίας σε σχέση με την «αρχαιότητα», που την ενέπνευσε, είναι η επισήμανση ότι στην πόλη η πολιτεία αυτή υπήρξε το πραγματικό αποτέλεσμα μιας μακράς εξελικτικής πορείας προς την ωριμότητα. Η κοινωνία της πόλης δεν είχε ενώπιόν της ένα προγενέστερο παράδειγμα ούτε μια θεωρητική βάση, προκειμένου να προβληματισθεί για τη δημοκρατία. Εξού και στην πόλη η έννοια της δημοκρατίας –όπως και οι λοιπές πολιτειακές έννοιες– περιγράφει ένα κοινωνικό φαινόμενο: το του δήμου κρατείν της πολιτείας. Οπωσδήποτε, η πραγματικότητα της δημοκρατίας ενδύθηκε συντοχρόνω με θεωρητικό και ιδεολογικό υπόβαθρο, με τις έννοιες που δίδουν υπόσταση και κάνουν αναγκαία την επιδίωξή της.
Η νεότερη εποχή, αντιθέτως, συνάντησε τη δημοκρατία στην ελληνική γραμματεία σε μια στιγμή που η Ευρώπη εξήρχετο μόλις από τη φεουδαλική δεσποτεία και κατεγίνετο με την ανθρωποκεντρική ανασυγκρότηση των κοινωνιών της. Τον αρχικό μιμητικό θαυμασμό θα ακολουθήσει η προσπάθεια για την κατανόηση του θεωρητικού διακυβεύματος της ελληνικής δημοκρατίας και για την εφαρμογή της στις ευρωπαϊκές κοινωνίες της εποχής όπου όμως δεν συνέτρεχαν οι προϋποθέσεις. Προσπάθεια που θα καταλήξει στην επεξεργασία σειράς συμβιβασμών τους οποίους θα συμπυκνώσει η διάκριση μεταξύ «άμεσης» και «έμμεσης» δημοκρατίας.